Elle marche de nouveau après 8 mois — récit détaillé d’une guérison avec Le Guérisseur

Dans cette publication, je raconte en détail la séance de soin énergétique que j’ai menée avec Samira, une femme de 52 ans qui consultait pour une hernie discale cervicale sévère et des symptômes invalidants. La vidéo originale, réalisée par Le Guérisseur, montre le déroulé de la rencontre, la parole échangée et les sensations immédiates ressenties pendant la séance. Je présente ici le contexte médical, les symptômes, le déroulé de la séance, les changements observés, ainsi que des explications et des conseils pratiques pour toute personne confrontée à une douleur chronique ou à une pathologie de la colonne vertébrale.

🩺 Contexte et diagnostic

Samira a 52 ans. Son histoire médicale comporte des épisodes récents qui ont culminé en une incapacité significative à marcher. Elle rapporte avoir été diagnostiquée avec une hernie discale cervicale, accompagnée d’altérations visibles à l’IRM : "on a vu de petits points sur la moelle épinière" — une phrase qui a fait craindre la possibilité d’une maladie auto-immune telle que la sclérose en plaques. Sa difficulté motrice s’est installée progressivement sur une période de deux ans, mais la paralysie effective et la limitation de la marche sont présentes depuis environ huit mois.

Au moment de la consultation, Samira décrit :

• Une douleur cervicale intense, irradiant dans le bras droit.
• Un engourdissement et des picotements dans la jambe droite et le pied.
• Une incapacité à monter des escaliers ou à marcher plus de quelques dizaines de mètres sans s’arrêter.
• Un score de douleur subjectif de 10/10 pour la région cervico-brachiale au plus fort de l’épisode.
• Une crainte réelle d’être amenée à une intervention chirurgicale urgente pour éviter une perte définitive de la mobilité — et la peur d’un fauteuil roulant.

Elle précise avoir déjà subi une opération deux ans auparavant pour une double hernie discale, et qu’à la suite de cette chirurgie elle a eu des problèmes résiduels. Le diagnostic médical lui aurait recommandé de nouveau une intervention pour éviter une aggravation irréversible. C’est dans ce contexte anxiogène — douleur intense, risque d’aggravation, et deuil récent d’un proche — que Samira a consulté pour une séance de soin énergétique.

⚠️ Symptômes et impact sur la vie quotidienne

Comprendre l’impact concret d’une hernie discale cervicale et des symptômes associés est essentiel pour saisir l’importance du cas de Samira. Ses mots traduisent une souffrance quotidienne qui dépasse la simple douleur physique :

« Je ne peux plus marcher. J’ai mal au cou, la douleur descend dans mon bras droit, je ne peux plus lever mon bras. »

Voici les principaux éléments d’impact qu’elle décrit :

• Mobilité réduite : incapacité à marcher plus de 100 mètres sans s’arrêter, difficulté à monter et descendre des escaliers.
• Perte de fonctionnalité d’un membre : gêne ou incapacité à utiliser le bras affecté, ce qui limite les gestes de la vie quotidienne.
• Douleur constante : douleur cervicale intense, notée 10/10 avant la séance, associée à des paresthésies (picotements) et à des sensations de lourdeur dans les jambes.
• Retentissement émotionnel : dépression du moral liée au deuil, anxiété quant à l’avenir, peur de finir en fauteuil roulant.

Ces éléments montrent combien une pathologie neurologique ou rachidienne peut être débilitante, et pourquoi il est légitime que la personne recherche toutes les ressources possibles — médicales, rééducatives et, comme ici, énergétiques ou spirituelles — pour retrouver une autonomie et une qualité de vie.

✋ La séance avec Le Guérisseur

La séance se déroule comme un soin énergétique guidé et verbal : Le Guérisseur dialogue avec Samira, lui demande d’évaluer ses douleurs, observe ses sensations, et l’accompagne sur un processus de libération émotionnelle lié au deuil. La méthode combine écoute, ressenti corporel et paroles de libération. Voici les temps forts qui ressortent du déroulé :

• Évaluation initiale : Samira attribue un 10/10 pour la douleur au cou et au bras, décrit des picotements dans la jambe droite et une incapacité de marcher.
• Activation de la chaleur et des sensations : dès les premières minutes, Samira ressent une chaleur et des picotements qui témoignent d’un réajustement énergétique selon son ressenti.
• Libération émotionnelle guidée : Le Guérisseur amène Samira à un rituel intérieur de pardon et de séparation bienveillante de sa mère, Aïcha, en lui demandant si elle est prête à la "laisser partir".
• Affirmations structurées : Samira prononce des phrases puissantes de libération — "Maman, il est temps que tu partes, monte vers la lumière", "Je reprends mes fragments d’âme", "Je suis léger dans mes jambes", "Je suis libre".
• Observation du progrès en temps réel : la mobilité cervicale de Samira s’améliore presque immédiatement, l’intensité de la douleur baisse progressivement (10 → 8 → 5 → 3). Elle se lève et marche pendant la séance — pour la première fois depuis huit mois.

Voici quelques extraits que Samira prononce pendant la séance :

« Je suis légère dans mes jambes. J’ai récupéré tous les morceaux de mon âme. Je récupère ma divinité et ma souveraineté. Je suis maintenant libre de toutes les attaches. »

Et encore :

«Maman, il est temps pour toi de partir et de monter vers la lumière. Je continue mon chemin, je marche vaillamment. »

Ces paroles ont constitué un moment symbolique fort — un rituel de séparation interne qui a permis à Samira d’autoriser une libération émotionnelle qu’elle portait depuis le décès de sa mère. Pour elle, cette libération a été corrélée à un changement physique rapide et observable pendant la séance.

📈 Mesures objectives et subjectives du progrès

L’un des éléments les plus frappants de ce cas est la rapidité et l’ampleur du changement rapporté au cours d’une seule séance. Nous devons distinguer les mesures subjectives (ressenti, échelle de douleur) et les observations objectives (mobilité, capacité à se lever et marcher).

Évolution rapportée par Samira :

• Douleur initiale : 10/10 (cou et bras).
• Après quelques minutes : chute à 8/10, sensation de chaleur et d’assouplissement du nape du cou.
• Par la suite : évaluation autour de 5–6/10.
• À la fin de la séance : évaluation déclarée à 3/10, cervical presque débloqué, sensation d’enracinement dans les pieds, plus de picotements gênants dans la jambe droite.
• Fonctionnel : elle se lève, marche (après 8 mois), retrouve la sensation de poser les pieds au sol (plutôt que de marcher "sur du coton").

Ces changements se sont produits durant une période très courte, ce qui est remarquable. Toutefois, dans l’analyse, il est important de rester prudent :

• La baisse de la douleur peut être partiellement liée à un effet de soulagement psychologique, à une relaxation musculaire, à un recalibrage neurologique temporaire ou à une modulation de la perception de la douleur.
• La possibilité d’un soulagement durable dépendra d’un suivi médical, de rééducation, d’une prise en charge globale (physiothérapie, gestion du stress, sommeil, nutrition) et, si nécessaire, d’un recours chirurgical si une compression médullaire persistante le justifie.

Malgré ces réserves, la séance a offert à Samira une amélioration significative et immédiate, tant sur le plan subjectif que fonctionnel. Le passage de l’impossibilité de marcher à une marche autonome, même limitée, en peu de temps représente une avancée thérapeutique notable pour elle.

🌀 Interprétation énergétique et psychosomatique

Il est utile d’aborder ce cas sous l’angle énergétique et psychosomatique, car la séance a impliqué clairement une dimension émotionnelle et symbolique (le deuil non résolu). Voici des éléments d’interprétation :

• Symbole du cou : en médecine traditionnelle et en approches somato-émotionnelles, la région cervicale est souvent associée à la communication, à la prise en charge des responsabilités et au lien avec les autres. Une tension chronique peut refléter un fardeau émotionnel ou une incapacité à exprimer une douleur interne.
• Fragment d’âme et attachement : la notion de "fragments d’âme" renvoie à des parties de soi dispersées ou retenues par d’autres — notamment des proches décédés — et qui peuvent se traduire énergétiquement par une perte de vitalité ou par des symptômes physiques localisés.
• Deuil non résolu : Samira reconnaît qu’elle n’a pas lâché sa mère et qu’elle garde quelque chose qui l’empêche d’avancer. Le rituel verbal de libération a permis un processus symbolique de séparation, une autorisation de continuer sa route sans l’emprise du passé.
• Effet de modulation neurologique : le soulagement immédiat des symptômes peut aussi s’expliquer par une détente des muscles paravertébraux, une amélioration de la circulation locale, et une modulation du système nerveux autonome (baisse du tonus sympathique, activation du parasympathique).

Il est important de préciser que ces interprétations ne remplacent pas un diagnostic médical. Elles constituent un éclairage complémentaire sur pourquoi certaines personnes ressentent une amélioration après une séance énergétique : l’état émotionnel, la charge psychique et la posture corporelle interagissent étroitement avec la physiologie.

🔧 Approche intégrative : que faire face à une hernie discale ?

Si vous ou un proche êtes diagnostiqué(e) avec une hernie discale cervicale ou lombaire, il est essentiel d’adopter une démarche intégrée. Voici une feuille de route pratique, inspirée du cas de Samira et des recommandations générales en santé :

1) Évaluation médicale

• Consultez un médecin (généraliste, neurologue, rhumatologue ou chirurgien orthopédiste) pour une évaluation clinique complète.
• Demandez les examens d’imagerie nécessaires : IRM de la colonne pour visualiser l’importance de la hernie et la présence éventuelle d’une compression de la moelle ou des racines nerveuses.
• Relevez les signes d’alerte : faiblesse progressive d’un membre, perte de contrôle sphinctérien, fourmillements intenses et aggravation rapide — ce sont des motifs d’urgence médicale.

2) Traitements conservateurs (souvent premiers recours)

• Repos relatif, gestion de la douleur (antalgiques prescrits), anti-inflammatoires si prescrits par le médecin.
• Physiothérapie adaptée : exercices de stabilisation, étirements doux, réentraînement à la marche, thérapies manuelles selon tolérance.
• Techniques complémentaires : thérapies énergétiques, acupuncture, ostéopathie, massages thérapeutiques — en complément et sous supervision médicale.

3) Quand la chirurgie est-elle envisagée ?

• Si la compression nerveuse est sévère et que des signes neurologiques progressifs apparaissent (paralysie, perte sensitive importante), la chirurgie peut être indiquée pour décompresser les structures nerveuses et stabiliser la colonne.
• La décision chirurgicale se fait au cas par cas, en fonction de l’imagerie, du tableau clinique et de l’évolution sous traitement conservateur.

4) Approche psychologique et émotionnelle

• La gestion du stress, des émotions et du deuil est une dimension essentielle. Thérapies cognitives et comportementales, psychothérapie, groupes de parole ou interventions spirituelles peuvent aider.
• Les pratiques de relaxation, méditation, respiration et visualisation jouent un rôle non négligeable dans la modulation de la douleur.

5) Suivi et réévaluation

• Un suivi régulier avec réévaluation clinique et parfois imagerie est nécessaire. L’objectif est d’éviter la chronicisation et de restaurer la fonction.
• En cas d’amélioration significative avec diminution de la douleur et récupération fonctionnelle, on maintient la prise en charge conservatrice tout en consolidant par réadaptation.

Le cas de Samira illustre comment une approche intégrative — combinant soin énergétique, libération émotionnelle et éventuellement un suivi médical — peut contribuer à un mieux-être rapide. Néanmoins, la prudence règne : en présence d’un risque de compression médullaire, il ne faut pas retarder une intervention si elle est indiquée par des spécialistes.

🧘 Exercices et conseils complémentaires

Pour accompagner une rééducation après une hernie discale ou pour diminuer la douleur au quotidien, voici des conseils pratiques, validés par la physiothérapie et l’expérience clinique :

Respiration et relaxation

• Pratiquez la respiration diaphragmatique 5 à 10 minutes par jour : inspirez lentement par le nez, laissez le ventre se gonfler, expirez par la bouche. Cela aide à abaisser le tonus musculaire et la perception de la douleur.
• La cohérence cardiaque (respirer à un rythme régulier) peut réduire l’anxiété et améliorer la tolérance à la douleur.

Mobilité douce

• Évitez les mouvements brusques du cou et les torsions forcées. Favorisez des rotations douces sous contrôle de la douleur.
• Exercices d’amplitude : inclinons la tête lentement de gauche à droite, puis haut-bas, en respectant les limites.

Renforcement et stabilisation

• Renforcement du tronc (gainage progressif) pour stabiliser la colonne.
• Travail des épaules et des muscles scapulaires pour diminuer la charge sur la région cervicale.

Posture et ergonomie

• Réglage du poste de travail (écran à hauteur des yeux, chaise avec soutien lombaire).
• Pause régulière pour éviter la position statique prolongée.

Précautions

• Évitez de soulever des charges lourdes sans technique adaptée.
• Avant d’entreprendre tout protocole d’exercice, demandez l’accord de votre professionnel de santé.

Ces conseils s’adaptent selon la localisation de la hernie (cervicale vs lombaire) et la sévérité des symptômes. L’objectif est d’accroître la résilience du rachis, de diminuer la douleur et de prévenir les récidives.

💔 Le rôle du deuil dans la guérison

Ce cas met en lumière l’interaction profonde entre le deuil et la santé physique. Samira avoue n’avoir pas "laissé partir" sa mère, une situation qui, selon elle, l’encombrait émotionnellement et physiquement. Le rituel intérieur dirigé par Le Guérisseur a consisté à prononcer des paroles de séparation et de pardon. Voici pourquoi cela peut être d’une grande aide :

• Le deuil non résolu peut entraîner une activation chronique du système de stress, générant tension musculaire, troubles du sommeil et altération de la perception de la douleur.
• Les rituels symboliques (dire adieu, rendre la mémoire, visualiser la montée vers la lumière) permettent souvent une transformation émotionnelle rapide, car ils organisent le passage psychique d’un état à un autre.
• Dire "je rends les parties que je garde" ou "je reprends mes fragments d’âme" sont des formulations qui réparent une représentation intérieure fragmentée et qui autorisent la personne à réinvestir son corps.

Pour Samira, le moment où elle a dit :

« Maman, je suis en train de reprendre les morceaux de moi que tu avais gardés. Nous sommes toutes les deux libres maintenant. Je marche sur mon chemin de lumière. »

a eu un effet déclaratif puissant. Ce type de phrase fonctionne comme un contrat interne : la personne change son histoire interne et, avec elle, l’expression corporelle de la douleur peut se modifier.

🌟 Ce que ce cas nous enseigne

Plusieurs leçons émergent de la rencontre avec Samira :

• La souffrance physique est souvent multidimensionnelle : elle mêle éléments anatomiques, neurologiques, émotionnels et symboliques.
• Une action rapide, qu’elle soit médicale ou énergétique, peut avoir un effet libérateur. Mais la durabilité des effets nécessite un suivi et une synergie entre approches.
• Le deuil et le poids émotionnel peuvent ancrer des symptômes physiques. Les traiter favorise une réadaptation plus complète.
• La parole thérapeutique — guidée, intentionnelle, et symbolique — a une force réelle. Prononcer un énoncé de séparation consciemment change parfois la physiologie par modulation du système nerveux.
• Il ne faut jamais minimiser l’importance du diagnostic médical. Les approches complémentaires sont précieuses mais ne doivent pas retarder une prise en charge chirurgicale ou neurologique quand elles sont nécessaires.

En bref, l’exemple de Samira rappelle que l’humain est un tout : prendre soin de l’esprit, du corps et des émotions conduit souvent aux meilleurs résultats.

❓ FAQ — Questions fréquentes

Q : Une séance énergétique peut-elle guérir une hernie discale ?

R : La séance énergétique ne "répare" pas mécaniquement un disque déplacé. Cependant, elle peut diminuer la douleur, relâcher les tensions musculaires, améliorer la perception corporelle et permettre une meilleure mobilité fonctionnelle. Pour une résolution anatomique complète, des traitements médicaux ou chirurgicaux peuvent être nécessaires selon le cas.

Q : Doit-on éviter la chirurgie après une amélioration énergétique ?

R : Non. Une amélioration symptomatique est précieuse, mais la décision chirurgicale dépend du tableau neurologique, des résultats d’imagerie et de l’évolution clinique. Si une compression médullaire existe et progresse, la chirurgie peut être impérative pour éviter des dommages permanents.

Q : Combien de temps dure l’effet d’une séance comme celle-ci ?

R : Cela varie grandement : pour certains, l’effet est durable et s’inscrit dans la durée avec une amélioration progressive ; pour d’autres, le soulagement peut être temporaire et nécessiter des séances de suivi, une rééducation ou des changements de mode de vie.

Q : Peut-on combiner soins énergétiques et traitements médicaux ?

R : Absolument. Une approche intégrée est souvent la plus efficace. Informez toujours votre médecin des thérapies complémentaires que vous suivez pour assurer une cohérence et éviter des interactions inappropriées.

Q : Que faire si la douleur empire après une séance ?

R : Si la douleur augmente de façon notable, ou si vous observez une faiblesse progressive, une perte de sensation importante, ou des troubles urinaires/fécaux, consultez immédiatement un service d’urgence ou votre spécialiste. Les thérapies complémentaires doivent toujours être accompagnées d’un suivi médical en cas de pathologie neurologique.

Q : Comment soutenir un proche qui ne peut plus marcher ?

R : Offrez un accompagnement pratique (aide aux déplacements, aménagement du domicile), un soutien émotionnel (écoute, présence) et encouragez un suivi médical et de rééducation. Proposez des activités adaptées et la présence à des séances de physiothérapie ou chez un professionnel de santé.

Q : Le deuil peut-il vraiment provoquer des symptômes physiques ?

R : Oui. Le deuil et les traumas émotionnels influencent le système nerveux autonome, le sommeil, l’appétit, la posture et la perception de la douleur. Travailler le deuil peut donc impacter positivement la santé physique.

✅ Conclusion

Le parcours de Samira est un témoignage fort de la capacité de l’être humain à récupérer, à condition d’être écouté et accompagné dans toutes ses dimensions — médicale, physique, émotionnelle et spirituelle. En quelques minutes de soin et de libération émotionnelle, elle a retrouvé une partie de sa mobilité et une nouvelle énergie pour poursuivre sa rééducation. Cela ne signifie pas que tous les cas seront résolus de la même manière, ni que la médecine ne doit pas intervenir lorsque c’est nécessaire. Cela montre en revanche l’intérêt d’une attitude ouverte et respectueuse des différentes approches pour aider une personne à recouvrer sa vie.

Si vous traversez une situation similaire, gardez ces principes en tête :

1. Consultez un professionnel de santé pour une évaluation complète.
2. Ne négligez pas l’aspect émotionnel et psychologique de la douleur.
3. Considérez une approche intégrée : médecine, rééducation et, si vous le souhaitez, accompagnement énergétique ou spirituel.
4. Faites preuve de patience et maintenez un suivi régulier pour sécuriser et consolider les progrès.

Gratitude à Samira pour sa confiance et à tous les professionnels qui accompagnent les personnes dans ces épreuves. Si vous souhaitez approfondir un aspect particulier (exercices pratiques, détails sur la rééducation, ou la dimension psychologique du deuil), je peux développer ces sujets dans un prochain article.

Gratitude.

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