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Polyarthrite Rhumatoïde depuis 17 ans — Témoignage et accompagnement par Le Guérisseur

Je suis Le Guérisseur, et dans cet article je partage en détail une séance vécue avec  une patiente souffrant de polyarthrite rhumatoïde depuis 17 ans. Je reviens sur son témoignage, la manière dont je l’ai accompagnée, les sensations et résultats immédiats observés, et surtout j’en profite pour expliquer ce qu’est la polyarthrite rhumatoïde, ses interactions possibles avec d’autres maladies comme le diabète et les troubles thyroïdiens, et les approches concrètes pour améliorer la qualité de vie au quotidien.

🩺 Présentation du cas : Madame, 17 ans de polyarthrite

Madame m’a consulté en consultation pour une douleur diffuse liée à une polyarthrite rhumatoïde évolutive depuis environ dix-sept ans. Dans nos échanges elle m’a précisé :

  • « Ça fait au moins 17 ans. » — durée de la maladie.
  • Elle est également porteuse d’un trouble thyroïdien et d’un diabète.
  • Priorité de la douleur : la polyarthrite (douleurs osseuses et déformation).
  • Zones douloureuses : pieds, mains, épaules, et bas du dos (région lombaire).
  • Intensité initiale de la douleur : 7 sur 10.
  • Antécédent de raideur cervicale importante empêchant la mobilité de la tête : « Je ne pouvais pas bouger ma tête, tourner ma tête. »

Ce témoignage est typique de nombreux patients atteints de polyarthrite rhumatoïde : douleurs articulaires chroniques, atteintes symétriques, limitations fonctionnelles, et souvent comorbidités qui complexifient la prise en charge.

💬 Ce qui s'est passé pendant la séance

Lors de notre échange et de la séance d’accompagnement, j’ai procédé de façon douce et progressive, en commençant par écouter précisément la plainte, localiser les zones les plus gênantes et évaluer l’intensité. Après quelques actions dirigées et un travail global, Madame Lemaire a décrit un allègement sensible :

« Je sens un soulagement. »

Voici le déroulé des sensations et de l’évolution de la douleur telle qu’elle me l’a rapportée :

  • Douleur initiale évaluée à 7/10.
  • Après quelques manipulations/techniques énergétiques : 5/10, puis 4/5.
  • Progression : sensation d’amélioration localisée surtout au niveau du cou et des épaules.
  • Après quelques instants : 3/10, puis 2/10, avec possibilité de mouvement de la tête retrouvée.

Madame Lemaire a conclu en disant : « Ça va aller, c'est super en plus. » et nous avons convenu d’un suivi si la douleur revenait.

🔍 Comprendre la polyarthrite rhumatoïde (PR)

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire auto-immune qui touche principalement les articulations. Son évolution est variable : certaines personnes ont des poussées fréquentes, d’autres une inflammation chronique plus stable. Les caractéristiques essentielles à retenir :

  • Atteinte synoviale : inflammation de la membrane synoviale qui entoure les articulations.
  • Symétrie : souvent les deux mains, deux poignets, deux genoux sont touchés de manière symétrique.
  • Déformation articulaire : à long terme, la perte structurelle peut conduire à des déformations et des pertes fonctionnelles.
  • Douleur, raideur matinale, gonflement articulaire et fatigue systémique.

La PR est une maladie systémique : elle peut toucher aussi la peau, les yeux, les poumons, et les vaisseaux. La prise en charge repose sur une combinaison de médicaments (anti-inflammatoires, corticoïdes, médicaments dits « de fond » ou DMARDs, therapies ciblées biologiques), de kinésithérapie, et d’approches complémentaires pour améliorer la qualité de vie.

⚖️ Interaction avec le diabète et la thyroïde

Madame Lemaire mentionne un diabète et un trouble thyroïdien. Ces comorbidités sont fréquentes et nécessitent une attention particulière :

  • Diabète : certains médicaments anti-inflammatoires ou corticostéroïdes peuvent influencer la glycémie. Il faut donc coordonner les traitements entre rhumatologue, endocrinologue et médecin traitant.
  • Thyroïde : les maladies auto-immunes peuvent être multiples chez la même personne. Une hypothyroïdie ou une hyperthyroïdie peut modifier l’énergie, le métabolisme et la perception de la douleur.
  • Polymédication : attention aux interactions médicamenteuses et aux effets secondaires potentiels, surtout chez les patients plus âgés.

La coordination interdisciplinaire est essentielle : je recommande vivement d’avertir vos spécialistes si vous suivez des approches complémentaires afin d’éviter tout conflit de suivi médical.

🦴 Focus sur les zones douloureuses et les symptômes rapportés

Elle m’a décrit des douleurs aux mains, aux pieds, aux épaules et au bas du dos. Ce type de répartition est courant :

  • Mains et poignets : gonflement, raideur matinale, difficultés à saisir des objets.
  • Pieds : douleur lors de l’appui et déformations possibles des orteils et de l’avant-pied.
  • Épaules et cervicales : tension, raideur et douleurs irradiantes pouvant réduire la mobilité de la tête.
  • Bas du dos : parfois associée à d’autres conditions (arthrose, lombalgie) — il est donc important de différencier les sources de douleur.

Dans sa consultation, l’amélioration la plus notable a été au niveau du cou et des épaules avec une nette diminution de la raideur cervicale : « Je ne pouvais pas bouger ma tête… maintenant j’ai mieux, je peux tourner la tête. » Cette évolution rapide montre l’intérêt des approches focales sur la tension musculaire et la circulation locale, même si elles ne remplacent pas la prise en charge médicale globale.

💡 Mon approche pendant la séance

En tant que praticien qui accompagne des personnes atteintes de douleurs chroniques, ma méthode repose sur plusieurs principes :

  1. Écoute attentive et contextualisation : comprendre depuis combien de temps, où et comment la douleur se manifeste.
  2. Évaluation simple et visible : demander une note de douleur sur une échelle de 0 à 10 permet de suivre objectivement l’effet d’une intervention.
  3. Approche globale : agir à la fois sur la zone douloureuse mais aussi sur l’ensemble du corps et de l’état émotionnel car la douleur chronique est multifactorielle.
  4. Démarches douces et respectueuses : je privilégie des techniques non agressives pour réduire la tension, recouvrer la mobilité et apaiser la sensation douloureuse.
  5. Suivi et recommandations : proposer des conseils pratiques et un plan de surveillance si le bénéfice est temporaire.

Durant la séance avec Madame Lemaire, l’intervention a abouti à une réduction importante de la douleur en très peu de temps. J’ai toujours précisé qu’il fallait évaluer la durée de cet effet et rester vigilant si la douleur revenait.

🧭 Interprétation du soulagement immédiat

Un allégement rapide peut s'expliquer par plusieurs mécanismes :

  • Relâchement musculaire : la réduction des tensions musculaires autour des articulations améliore la mobilité et diminue la douleur référée.
  • Amélioration de la circulation locale : un meilleur flux sanguin favorise l’élimination des médiateurs inflammatoires et la nutrition des tissus.
  • Effet neurophysiologique : le système nerveux peut moduler la douleur (portes de la douleur, production d’endorphines, etc.).
  • Facteur psychologique : l’espoir et le sentiment d’être entendu peuvent amplifier la perception du soulagement.

Cependant, il est essentiel de rappeler que cet allègement immédiat ne signifie pas une guérison de fond de la maladie. La polyarthrite rhumatoïde nécessite une prise en charge médicale de long terme pour contrôler l’inflammation et prévenir les dommages articulaires.

🔬 Que dit la science sur les approches complémentaires ?

Les approches complémentaires (physiothérapie, kinésithérapie, acupuncture, thérapies manuelles, interventions énergétiques, etc.) peuvent améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de PR. Voici quelques points basés sur la littérature :

  • Physiothérapie : amélioration de la mobilité, renforcement musculaire et conseils ergonomiques reconnus.
  • Activité physique modérée et régulière : diminue la douleur, améliore la fonction et l’état mental.
  • Acupuncture : effet analgésique chez certains patients, bien que les résultats varient.
  • Techniques manuelles et massages : souvent utiles pour réduire la tension musculaire et améliorer le confort.
  • Thérapies énergétiques : certaines personnes rapportent une amélioration significative ; les preuves scientifiques sont moins robustes mais l’effet placebo et les mécanismes neurophysiologiques peuvent jouer un rôle réel.

La clé est la complémentarité : ces techniques doivent s’intégrer à un parcours de soins médical validé, notamment lorsqu’il s’agit d’administrer des médicaments immunosuppresseurs ou biologiques.

🛡️ Quand faut-il consulter en urgence ?

La polyarthrite rhumatoïde peut entraîner des complications. Il est important de consulter rapidement en cas de :

  • Fièvre persistante associée à une douleur articulaire intense.
  • Signes d’infection (rougeur, chaleur locale, gonflement très aigu).
  • Douleur thoracique, essoufflement ou symptômes oculaires soudains.
  • Perte rapide de fonction (impossibilité d’utiliser une main ou un membre).

En dehors des urgences, conservez un suivi régulier avec votre rhumatologue et votre médecin traitant pour ajuster les traitements de fond.

🧘‍♀️ Conseils pratiques pour soulager la douleur et améliorer la mobilité

Voici un ensemble de recommandations pragmatiques que je donne souvent à mes patients et que j’ai partagées avec Madame Lemaire :

Exercices et mouvement

  • Activité douce quotidienne : marche, aquagym, vélo stationnaire.
  • Étirements matinaux pour réduire la raideur matinale — 5 à 10 minutes consacrées aux épaules, au cou et aux mains.
  • Renforcement musculaire léger : travail des muscles autour des articulations pour stabiliser et protéger les structures.
  • Programmes supervisés par un kinésithérapeute pour adapter les exercices au stade de la maladie.

Hygiène de vie

  • Maintenir un poids adapté : moins de charge sur les articulations.
  • Sommeil réparateur : essentiel pour la régulation inflammatoire et la récupération.
  • Arrêt du tabac : améliore la réponse aux traitements et diminue l’inflammation.

Alimentation

  • Régime anti-inflammatoire : fruits et légumes variés, poissons riches en oméga-3, diminution des aliments ultra-transformés.
  • Hydratation régulière.
  • Éviter les excès de sucre et d’alcool qui favorisent l’inflammation systémique.

Ergonomie et aides techniques

  • Utiliser des couverts adaptés, poignées ergonomiques et orthèses pour protéger les articulations.
  • Adapter le poste de travail : chaise, hauteur du bureau, pauses régulières pour éviter la répétition de gestes nuisibles.

🍎 Nutrition et complémentation : ce qui peut aider

Plusieurs approches alimentaires peuvent soutenir la gestion de la PR :

  • Méditerranée : riche en fruits, légumes, légumineuses, huile d’olive, et poissons gras, ce régime est lié à une réduction de l’inflammation.
  • Oméga-3 (poissons gras, huile de lin, compléments d’huile de poisson) : peuvent avoir un effet modeste mais utile sur l’inflammation et la douleur.
  • Curcuma (curcumine) : certains extraits montrent un effet anti-inflammatoire, mais attention aux interactions médicamenteuses.
  • Vitamine D : souvent dosée chez les patients; une carence peut aggraver les symptômes et la fatigue.

Avant toute complémentation, il est important de s’assurer qu’il n’y a pas d’interaction avec les traitements en cours et de doser les éléments essentiels (vitamine D, fonctions rénales, etc.).

🤝 Travailler avec les professionnels de santé

Un suivi coordonné est fondamental :

  • Rhumatologue : pour la mise en place et l’ajustement des traitements de fond (DMARDs, biologiques).
  • Médecin traitant : coordination générale et gestion des comorbidités (diabète, thyroïde).
  • Kinésithérapeute/ergothérapeute : rééducation fonctionnelle et aides techniques.
  • Nutritionniste/endocrinologue : pour adapter l’alimentation au diabète et aux besoins métaboliques.
  • Psychologue ou groupes de parole : pour gérer l’impact émotionnel et social de la maladie chronique.

Les approches complémentaires que j’utilise en cabinet peuvent être intégrées à ce parcours, à condition d’avoir une communication claire entre tous les intervenants.

🔁 Suivi et plan d’action après la séance

Après la séance avec Madame Lemaire, nous avons convenu de :

  • Noter l’évolution de la douleur dans les heures et jours suivants.
  • Si la douleur revenait, évaluer le délai de réapparition et prendre rendez-vous pour une réévaluation.
  • Mettre en place des exercices simples à réaliser à la maison pour maintenir la mobilité cervicale et des épaules.
  • Informer ses médecins traitants et son rhumatologue des améliorations et des mesures prises en complément.

Le but est d’obtenir un soulagement durable, pas seulement ponctuel. Si le bénéfice est répétitif et durable, il devient alors un outil précieux dans la boîte à outils de la personne.

🔎 Mythes et réalités : l'humidité aggrave-t-elle la polyarthrite ?

Beaucoup de patients évoquent la météo et l’humidité comme facteurs aggravants. Certains ressentent effectivement une sensibilité accrue des articulations lors des changements météorologiques. Cependant :

  • Les preuves scientifiques sont mixtes : la corrélation existe principalement sous forme de témoignages et d’études modestes.
  • Le ressenti peut être amplifié par la contraction musculaire et la sensibilité nerveuse périphérique.
  • Dans la pratique, protéger les articulations du froid et favoriser des vêtements adaptés peut diminuer la gêne ressentie.

Avec Madame Lemaire, j’ai posé la question : « Est-ce que là où tu es c'est très humide ? » Elle a répondu « Non, non. » La météo n’était donc pas un facteur déclenchant majeur lors de sa consultation.

🧾 Mes conseils concrets pour les patients atteints de PR

Voici un plan d’action concret et structuré que je partage souvent :

  1. Tenir un carnet de douleurs : noter intensité, localisation, facteurs déclenchants et effet des interventions (médicaments, séances, repos).
  2. Planifier une consultation régulière avec le rhumatologue au moins une fois par an, ou plus fréquemment si traitement modifié.
  3. Mettre en place un programme d’exercices personnalisé avec un kinésithérapeute.
  4. Adapter l’alimentation en privilégiant des aliments anti-inflammatoires naturels.
  5. Protéger les articulations et utiliser des aides ergonomiques au besoin.
  6. Privilégier le sommeil et gérer le stress (techniques de relaxation, méditation, sophrologie, etc.).
  7. Ne pas arrêter un traitement pharmacologique sans avis médical.

🔧 Exercices pratiques simples (exemples)

Voici quelques exercices simples que j’explique souvent à mes patients pour le cou et les épaules (à adapter selon la douleur et après validation du médecin) :

  • Flexion-extension douce du cou : 5 à 10 répétitions, sans forcer.
  • Inclinaisons latérales du cou : aller vers l’épaule opposée doucement, 5 répétitions de chaque côté.
  • Rotations cervicales lentes : seulement si la mobilité le permet, sinon s’abstenir.
  • Élévations d’épaules : hausser les épaules puis relâcher, 10 répétitions.
  • Étirement des poignets : mains à plat, paumes vers le sol, bascule vers l’avant puis vers l’arrière.
  • Le tout en respirant consciemment et en expirant doucement et complètement.

Si vous ressentez une douleur aiguë pendant un exercice, arrêtez et consultez votre praticien.

📚 Ressources et suivi

Pour mieux accompagner votre parcours :

  • Demandez à votre rhumatologue un plan de suivi écrit, avec les objectifs thérapeutiques (rémission, réduction des poussées, préservation de la fonction).
  • Rejoignez des associations et groupes de patients pour partager des astuces et du soutien émotionnel.
  • Tenez un dossier de vos traitements, bilans sanguins (CRP, VS, facteur rhumatoïde, anti-CCP) et évolutions cliniques.

🗣️ Témoignage de Madame Lemaire (extraits)

« Ma priorité c'est le rhumatisme polyatrithique parce que ça me fait mal aux os qui se déforment. »

« Je ne pouvais pas bouger ma tête, tourner ma tête. »

« Ça va mieux là… Après j'ai dit deux. J'ai dit deux. »

Ces phrases illustrent bien le vécu quotidien d’une personne atteinte de PR : douleur chronique, perte de mobilité et soulagement lorsqu’un traitement ou une action apporte une amélioration, même temporaire.

❓ FAQ — Questions fréquentes sur la polyarthrite rhumatoïde et l'accompagnement

Q1 : La polyarthrite rhumatoïde se guérit-elle ?

R : À ce jour, la polyarthrite rhumatoïde n’a pas de guérison définitive connue. En revanche, la maladie peut être contrôlée. Les traitements de fond (DMARDs et biologiques) permettent à de nombreux patients d’atteindre une rémission clinique ou une réduction importante des poussées inflammatoires. L’objectif est de réduire l’inflammation, prévenir les lésions articulaires et préserver la fonction.

Q2 : Peut-on arrêter les médicaments si on ressent un soulagement ?

R : Non. Un soulagement temporaire (par exemple après une séance thérapeutique) ne doit pas conduire à arrêter les médicaments sans l’avis du rhumatologue. L’arrêt brutal des traitements de fond peut provoquer une reprise de l’activité inflammatoire et des dégâts articulaires.

Q3 : Les techniques complémentaires sont-elles efficaces ?

R : Elles peuvent améliorer la qualité de vie, réduire la douleur et augmenter la mobilité chez de nombreuses personnes. Leur efficacité varie selon l’individu. Elles doivent être complémentaires à la prise en charge médicale standard et coordonnées avec l’équipe soignante.

Q4 : Faut-il éviter certains sports ?

R : Évitez les sports à fort impact si vos articulations sont instables ou douloureuses (comme le jogging sur sol dur). Privilégiez la natation, la marche, le vélo, et les activités aquatiques. Adaptez selon la tolérance et sous supervision professionnelle si nécessaire.

Q5 : Est-ce que l’alimentation peut tout changer ?

R : L’alimentation peut aider à réduire l’inflammation et soutenir le bien-être général, mais elle ne remplace pas les traitements médicaux. Un régime anti-inflammatoire peut réduire les symptômes chez certains patients, mais son effet est souvent modeste et complémentaire.

Q6 : Comment savoir si la douleur est liée à la PR ou à autre chose ?

R : La présence de gonflement articulaire, la symétrie des lésions et des marqueurs biologiques (CRP, VS, anti-CCP) orientent vers la PR. Une évaluation médicale est nécessaire pour différencier arthrose, tendinites, neuropathies et autres causes.

📌 Conclusion

La séance avec Madame Lemaire illustre deux réalités importantes : d’une part, il est possible d’obtenir un soulagement perceptible et rapide de la douleur par des approches complémentaires et un accompagnement adapté ; d’autre part, la polyarthrite rhumatoïde reste une maladie chronique qui nécessite une prise en charge médicale globale et continue.

Mon approche vise à améliorer la qualité de vie, restaurer une partie de la mobilité et proposer des outils pratiques pour gérer la douleur au quotidien. Si vous souffrez de polyarthrite, n’hésitez pas à coordonner vos soins entre les professionnels médicaux et les praticiens complémentaires pour construire un parcours de soins personnalisé et sécurisé.

Si vous souhaitez partager votre expérience ou poser des questions, je suis disponible pour échanger et accompagner selon vos besoins. Prenez soin de vous.

📞 Rappel pratique

Si vous observez une aggravation soudaine ou des signes d’alerte (fièvre, signes d’infection, douleurs thoraciques, perte rapide de fonction), consultez immédiatement un service de santé. Pour le suivi de votre polyarthrite rhumatoïde, conservez un dossier médical à jour et planifiez des bilans réguliers avec votre équipe médicale.

 

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Denis TRAN

Le Guérisseur

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